Le Fonctionnaire

Dimanche 9 septembre 7 09 /09 /Sep 17:02

Il y a déjà plus de 40 ans qu'il travaillait pour le ministère de l'Immigration.

Bientôt, il prendrait sa retraite à l'âge de 65 ans.

Il ne s'était jamais marié. Grand, mince, maigre même, le dos quelque peu vouté, il avait un visage allongé, un nez aquilin et un menton pointu.

Il y a longtemps déjà, il avait réalisé qu'il ne plaisait pas aux femmes et que c'est avec les prostituées qu'il devait se soulager.

Il se masturbait réglièrement, au moins 2 ou 3 fois par jour, et sa libido n'avait d'égal que les fantaisies qui l'habitaient.

Le viol l'excitait particulièrement.

Il aimait se caresser en pensant qu'il
obligeait une femme à se déshabiller devant lui, qu'il usait de son pouvoir et
de son autorité pour lui attacher les poignets et les chevilles aux 4 coins du
lit, qu'il lui déchirait ses vêtements, qu'il la caressait avec sa langue, sa
bouche et ses doigts... ses vieux doigts longs et courbés qu'il faisait entrer
dans son vagin étroit et humide alors qu'elle tentait vainement de refermer les cuisses.

Qu'il la forcait à le sucer et à avaler son sperme, qu'il s'étendait sur elle pour la masturber lentement avec son gland avant de faire glisser sa vieille bite entre les parois étroites et moites de sa jeune chatte.

Qu'elle se débatte et qu'elle cherche l'empêcher d'arriver à ses fins ignobles l'excitait encore plus. Il bandait en fantasmant à l'idée qu'il la traitait de salope, de putain, de belle petite chienne.

Il lui arrivait, bien sûr, de regarder des films pornos pour alimenter ses
fantaisies mais souvent aussi de se masturber devant des photos de ses
belles-soeurs et de ses jeunes nièces prises à la plage.

C'était un vieux vicelard, un vieux cochon, un vieux pervers. Prendre une femme de cette façon est un fantasme qu'il voulait réaliser, qu'il se devait un jour de réaliser....

L'occasion se présenta quelques semaines avant sa retraite. On lui transféra,
pour fin d'approbation, le dossier de May Nguyen, une jeune vietnamienne de 20
ans demandant le statut de réfugiée.

Il ouvrit le dossier et vit sa photo. Elle était superbement belle, paraissant encore plus jeune que son âge. Sa fiche indiquait qu'elle mesurait 1.52 mètre et qu'elle pesait à peine 40 kilos.

Son pénis se mit à durcir dans son pantalon. Elle correspondait parfaitement à
ses fantasmes. La lecture du dossier fit durcir sa queue encore davantage. On y
précisait que le bateau de réfugiés sur lequel elle se trouvait avait été
abordé par un navire de pirates sillonnant l'océan au large du Vietnam.

Les pirates s'étaient bien sûr emparés de tous les biens détenus par les réfugiés
(argent, bijoux, etc...) mais avait aussi usé de leur force et de leur pouvoir
pour abuser sexuellement la dizaine de jeunes femmes qui se trouvaient à bord.

Assis derrière son bureau, il avait sorti son pénis et se masturbait en lisant
les détails, hélas trop peu nombreux, racontant les abus dont la jeune May
avait été victime.

Les pirates étaient resté amarrées près de 2 jours à l'embarcation des réfugiés.

Par qui, combien de fois et comment avait-elle été abusée, violée, enculée?

Malgré l'absence d'informations à ce sujet, les fantasmes qui l'habitaient maintenant alors qu'il se branlait frénétiquement comblaient cette lacune.

Il allait jouir. Il regarda la photo de May en gémissant: "Petite salope, tu vas tout me raconter...." et il éjacula abondamment.

Le lendemain matin, il sonnait à la porte de l'appartement de la jeune femme
pour obtenir les informations nécessaires dont il avait "besoin" afin de lui
délivrer ce statut de résidente qu'elle réclamait....

Son pénis était déjà en érection lorsqu'elle vint lui ouvrir la porte... Elle était encore plus belle qu'il ne l'avait imaginé. Il savait qu'il allait devoir la forcer, la maintenir et lui déchirer ses vêtements pour arriver à ses fins.

Mais, c'est finalement plus à cause de son autorité que de sa force qu'elle s'avouerait vaincue, qu'elle se laisserait tripoter par ce vieux vicelard qui, après l'avoir attachée, la violerait avec ses doigts, sa langue et sa queue.

Sans détour, il lui dit ce qu'il avait en tête: pour que ses parents puissent venir la rejoindre au Québec, elle n'avait qu'un choix... se donner à lui...

"Alors petite salope, tu as 2 choix: tu retournes au Vietnam ou tu te mets à poil devant moi et tu acceptes de faire tout ce que je veux."

Quelques larmes se mirent à couler sur les joues de May alors qu'elle dégrapha
son soutien-gorge et qu'elle fit glisser sur ses chevilles sa petite culotte. Debout devant le vieil homme, elle était maintenant complètement nue.

Il s'approcha d'elle et, la retenant par les cheveux, le visage tourné vers
lui, lui dit: "Tu vas voir, on va bien s'amuser tous les deux. Tu la sens ma
queue dans mon pantalon? C'est toi qui la fait bander avec tes petits nichons
et ton beau petit cul...".

Sa main libre était descendue entre ses cuisses après lui avoir palpé les
seins.

Il l'avait sentie se raidir et reculer sous ses caresses. Il n'en était
que plus excité...

"Déshabille-moi, salope!", ajouta-t-il.

Ses petits doigts fins tremblaient lorsqu'elle commença à déboutonner la
chemise du vieil homme découvrant sa poitrine couverte de poils blancs.

Puis, la prenant par les épaules, il lui ordonna: "À genoux, putain..."

À genoux devant le vieil homme, elle lui retira ses souliers et commenca à
dénouer la ceinture de son pantalon qui eu tôt fait de tomber sur ses
chevilles.

La queue du vieux vicelard pointait maintenant vers son visage à travers le
tissu de son caleçon.

L'empoignant de nouveau par les cheveux, il approcha son visage de son sexe:
"Je pense que tu sais ce qu'il te reste à faire, non?"

Juste avant son départ du village, elle s'était quelque fois prostituée pour
payer son voyage en bateau. Deux de ses oncles ainsi qu'un marchand bien nanti de la région l'avait payée pour obtenir ses faveurs.

C'était pourtant la première fois qu'elle voyait nu un homme aussi âgé.

Lentement, elle fit glisser le sous-vêtement le long des hanches de l'homme qui
allait violer sa bouche.

Troublée et dégoutée, elle ne pu toutefois pas s'empêcher de regarder le vieux
sexe jaillir devant son visage.

Longue, mince, courbée et veinée, la queue du sexagénaire était surmontée d'un
gros gland violacé aux rebords proéminents.

Le vieil homme la retenait de nouveau par les cheveux. Résignée, elle savait ce
qui lui restait à faire lorsqu'il lui dit: "Suce, salope....je veux venir dans
ta bouche, petite putain".

La retenant par les cheveux, il guida son gland vers sa bouche. Elle n'eut
d'autres choix que d'ouvrir les lèvres. Elle sentit le gland dur et spongieux
sur sa langue. Elle referma les lèvres et se mit à sucer le sexe du vieil
abuseur.

Le vieil homme avait du mal à contenir son plaisir. L'agrippant par les
cheveux, il violait la bouche d'une jeune femme qui aurait eu l'âge d'être sa
petite-fille.

"Ah, tu suces bien, salope..." gémit-il. Il savait qu'il ne pourrait se retenir
bien longtemps. Ce n'était d'ailleurs pas le but de l'exercice.

Il voulait démontrer à cette petite putain qu'il la dominait, que durant les
prochaines heures, elle étaient sexuellement à sa merci.

Au même moment, elle le sentit durcir dans sa bouche et sut qu'il allait éjaculer.
Elle tenta de se retirer mais en vain. Il la maintenait fermement contre son
sexe.

"Ah oui, avaaaaaaaaaale, petite putain...", gémit-il alors qu'il se mit à gicler
dans sa bouche. Elle n'eu d'autres choix que de se soumettre et avala, bien
malgré elle, la semence du vieil homme.

Le sperme coulant encore sur son menton et dans son cou, il l'amena dans
la chambre et, à l'aide de foulards de soie et de bas nylon, lui attacha les poignets et les chevilles aux 4 coins du lit.

Nu, étendu à côté d'elle, il commenca à la caresser de ses vieilles mains
rugueuses.

Elle essaya en vain de refermer les cuisses lorsque le vieil homme se vautra
entre ses jambes pour lui lécher le sexe.

Il y avait plusieurs mois qu'elle n'avait pas eu de relations sexuelles et, bien malgré elle, elle se mit à lubrifier alors que son clitoris s'allongeait entre les lèvres du vieux vicelard.

Après l'avoir longuement léchée et sucée, il s'étendit à côté d'elle.

Il commença à la masturber lentement en lui demandant de lui raconter, dans les
moindres détails, les viols successifs dont elle avait été victime lorsque que
les pirates avaient abordé le bateau de réfugiés sur lequel elle se trouvait.

Lentement, il retrouvait son érection.

Avec ses vieilles mains, il caressait les replis intimes de sa féminité.

Glissant en elle un seul de ses vieux doigts courbés, il personnifierait cet
adolescent qui venait tout juste d'avoir 18 ans et que les pirates avaient obligé à se déshabiller après l'avoir aussi amené du bateau de réfugiés.

Pendant que 4 hommes retenaient la jeune May sur le lit du capitaine, ils l'avaient forcé à s'étendre sur elle pour la pénétrer.

Elle le connaissait bien car il habitait son village.

Ce qu'elle ignorait, c'est que depuis toujours, il se masturbait souvent en pensant à elle.

La voir nue ainsi, ses seins bien ronds, ses petits mamelons bruns dressés, les cuisses écartés laissant voir, sous un court duvet de poils noirs, les replis de sa vulve avait dressé sa jeune queue.

Entrant, ressortant puis entrant à nouveau, le vieux doigt du fonctionnaire
s'agitait de plus en plus vite à l'intérieur du sexe de la jeune vietnamienne
qu'elle tentait vainement de contracter dans le but de le repousser... au grand plaisir du vieux salopard.

Sa vieille queue appuyée sur la cuisse de la jeune femme bandait de plus en
plus lorsqu'il l'écoutait lui raconter ce qu'elle avait ressenti lorsque le
gland du jeune homme s'était appuyé sur ses grandes lèvres...

Le sexe humide de secrétions, elle entendit le vieux salaud lui demander:
"Alors, tu mouilles, ma salope? C'est de te rappeler ce jeune homme entre tes jambes qui te fait mouiller ainsi ou bien encore de sentir mon doigt te
fouiller la chatte... hein???", ajouta-t-il tout en s'étendant sur la jeune
femme.

Elle se débattait, et il regardait son visage grimaçant alors qu'elle tentait
vainement de se libérer de ses liens.

Elle se savait soumise et contrainte à cet ultime outrage qu'une femme puisse subir: celui où un homme force son pénis en elle malgré sa résistance et ses protestations... cet ultime outrage qu'on appelle le viol. Ce viol qu'elle subissait au main de cet homme vieux et repoussant dont le gland durci écartait maintenant de plus en plus les parois de sa féminité.

"Hummm .... Tu sais que tu as une petite chatte bien étroite, toi.... et bien
mouillée aussi. Ne me dis pas le contraire petit salope. Je sais bien que tu me
résistes mais je sens aussi que ton petit clitoris est glonflé de plaisir.
Allez, laisse toi bien faire, petite putain, comme tu l'as laissé faire ce
garcon, hein?"

Lentement, la queue du vieil homme entra en elle: "C'est pas si mal, le viol,
hein? Tu sais que tu me fais bander, toi avec tes petits seins fermes et ta
petite chatte.... Tu sais que tu vas me faire venir, hein....
comme tu la fais venir ce jeune garcon..."

May ne cessait de se débattre tout en répétant: "Non, non... je ne veux pas,
vous n'avez pas le droit... laissez-moi, laissez-moi..."

Les supplications de May ne faisaient qu'exciter davantage le vieux
fonctionnaire. Le pénis bien engagé dans le canal étroit de la jeune femme, son
mouvement de va-et-vient s'accentuait de plus en plus.

Malgré sa résistance, malgré ses protestations, il savait qu'il allait bientôt
jouir en elle. Contre son consentement, éjaculer dans son ventre. Contre sa
volonté, imposer à cette jeune femme la relation la plus intime qu'un homme et une femme puissent connaître...

Et, pendant qu'il éjaculerait en elle, il regarderait son visage. Ça le ferait
encore bander davantage...

Il allait bientôt juter...

May sentit le premier jet gicler au fond d'elle... Sa résistance et ses
protestations s'accentuèrent mais le plaisir du vieil homme n'en fut que
décuplé alors qu'un second jet encore plus puissant, suivi d'un troisième
inonda le vagin de May...

Il resta longtemps en elle... jusqu'à ce que sa queue lentement se ramollisse.
Son sperme blanc et chaud coulant du vagin de la jeune femme et glissant jusqu'à son anus.

May avait cessé de se débattre.

Sa respiration, pourtant, demeurait encore saccadée

... comme une femme qui a joui???

Qui sait?
--------------------
François
divers1234@yahoo.com



 

Par François - Publié dans : Le Fonctionnaire
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